la cicatrice a beaucoup de mal à se refermer,
9 Mai - 9 Février = 9 MOIS
une absence qui me fait souffrir
Ma petite fille est partie à jamais.....
Depuis, je me sens seule ,
j'attents en vain un texto , un simple coup de fil,
entendre sa voix .... Son "Mimou! t'es là?" quand elle arrivait à la maison
je suis comme abandonnée au Pays du chagrin ......
verser des larmes d’amour, ne la fera pas revenir
mais, elles coulent quand même!
je lis des poèmes sur le départ et l'absence
ça m'aide.... et je me souviens
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"les photos d'elle et moi, d'elle et de chéri, , nos éclats de rire, nos souvenirs de vacances
nos razzias dans les boutiques ,
on achetait tant de vêtements, des décos, des fleurs
quelle belle époque; ça me fait sourire
non, je ne peux pas oublier nos moments , ensemble, nous étions si heureuses
j'en arrive à oublier le MAL qui t'a détruite , et menée à la tombe
ça me fait avancer.....
Rien, ni personne ne pourront enlever nos souvenirs ,
notre vie ensemble pendant 25 ans
où jour après jour, ELLE me donnait tant d' amour
en me le prouvant à chaque instant
je cache mon chagrin , alors je plaisante, je ris pour ne pas pleurer
je me dis " ça ira mieux demain!"
ces 2 poèmes sont pour toi EDWINNE
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Sais-tu combien tu me manques ?
Tu manques à ma vie
Tu manques à mon coeur
Ton départ a été une douleur
Ta mort m’a laissé sans vie
Repose en paix mon amour- ma fille
Repose en paix Toi que j’ai tant aimée
Ton âme si belle s’est envolée vers l’éternité
Reçois mon amour ces mots de velours
Tu manques à chaque instant
Tu me manques infiniment
Ton absence est si présente
Ma tristesse est omniprésente
Tu manques à ma vie
Tu me manques ma petite fille chérie
Repose en paix Je t’aime pour l’éternité
Repose en paix dans ton paradis bien mérité
Chaque jour je pense à toi mon enfant
Tu vis en moi à jamais et pour toujours
(quelques mots ont été changé- )
et aussi, une sublime citation ==>
"Il faut être un enfant
pour voir l'âme des gens, ou bien avoir gardé son âme d'enfance, son innocence.
Les adultes, eux, ne veulent voir que les apparences. "
Christian Simon